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AGO 2013/Propositions d’amendements au programme
Ceci est la page de préparation des amendements programme en vue de les présenter à l'AGO du 27/10/2013
Voir la page Amendements au programme pour la méthodologie.
Samedi 00/00/2013 21h : date limite de validation des amendements de la part des adhérents.
Lister les amendements ci-dessous :
Titre
Ceci est la présentation de mon amendement.
N° | 0 |
Titre | Mon premier amendement |
Proposé par | Mon Pseudo |
Soutenu par | Mon Pseudo, son pseudo, ton pseudo |
Date de rédaction | 08/03/2013 |
Texte de l'amendement | On rajoute cette mesure: Ceci est l'amendement. |
Explications et argumentaire | Cet amendement va changer la vie du PP |
Contre-argumentaire | Le changement c'est pas pour maintenant |
Références |
Conditions d'accès au CAPES et concours de Professeur des Ecoles
N° | 1 |
Titre | Conditions d'accès au CAPES et concours de Professeur des Ecoles |
Proposé par | Relf |
Soutenu par | Relf, Amok, Numero6, Amok |
Date de rédaction | 11/03/2013 |
Texte de l'amendement | Changer les conditions d'inscriptions au CAPES et au concours de Professeur des Ecoles
Tout d'abord en remplaçant dans les textes la partie : Vous devez justifier à la date de publication des résultats d'admissibilité: d'un master, ou d'un titre ou diplôme sanctionnant un cycle d'études postsecondaires d'au moins cinq années, acquis en France ou dans un autre État, et attesté par l'autorité compétente de l'État considéré, ou d'un diplôme conférant le grade de master, conformément aux dispositions de l'article 2 du décret du 30 aout 1999 (exemples: DESS, DEA, diplôme d'ingénieur...), ou d'un titre ou diplôme classé au niveau I du répertoire national des certifications professionnelles, ou d'une inscription en dernière année d'étude en vue de l'obtention d'un master ou d'un titre ou diplôme équivalent. En cas de réussite au concours, vous ne pourrez être nommé fonctionnaire stagiaire que si vous justifiez lors de la rentrée scolaire qui suit votre admission au concours de l'un de ces titres ou diplôme. Si tel n'est pas le cas, vous garderez le bénéfice du concours jusqu'à la rentrée scolaire suivante. Si vous justifiez alors de l'un de ces titres ou diplômes, vous pourrez être nommé fonctionnaire stagiaire. Dans le cas contraire, vous ne pourrez être nommé et perdrez le bénéfice du concours. Par : Vous devez justifier à la date de publication des résultats d'admissibilité: d'une licence dans le domaine de connaissances concerné par le CAPES, ou d'un titre ou diplôme sanctionnant un cycle d'études postsecondaires d'au moins trois années, acquis en France ou dans un autre État, et attesté par l'autorité compétente de l'État considéré, dans le domaine de connaissances concerné par le CAPES ou d'un diplôme conférant le grade de licence, dans le domaine de connaissances concerné par le CAPES ou d'une inscription en dernière année d'étude en vue de l'obtention d'une licence ou d'un titre ou diplôme équivalent, dans le domaine de connaissances concerné par le CAPES. En cas de réussite au concours, vous ne pourrez être nommé fonctionnaire stagiaire que si vous justifiez lors de la rentrée scolaire qui suit votre admission au concours de l'un de ces titres ou diplôme. Si tel n'est pas le cas, vous garderez le bénéfice du concours jusqu'à la rentrée scolaire suivante. Si vous justifiez alors de l'un de ces titres ou diplômes, vous pourrez être nommé fonctionnaire stagiaire. Dans le cas contraire, vous ne pourrez être nommé et perdrez le bénéfice du concours.
Vous êtes dispensé de diplôme, si vous êtes mère ou père d'au moins trois enfants, ou sportif de haut niveau.
Vous devez justifier à la date de publication des résultats d'admissibilité: d'un Brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur en accueils collectifs de mineurs (alias BAFA) |
Explications et argumentaire | Les inscriptions aux deux concours sont soumis à des conditions générales et spécifiques[1][2]. Les conditions générales sont classiques et acceptables (quoique la SI diversité pourrait se pencher sur "justifier des conditions d'aptitude physique requises" pour voir s'il n'y a pas un problème pour les handicapés).
Par contre les conditions spécifiques sont à corriger. Pour résumer, une personne souhaitant devenir enseignant doit avant tout posséder un diplôme de Master (Bac+5) ou d'un diplôme équivalent. Une dispense est accordée à toute personne qui est mère ou père d'au moins trois enfants, ou sportif de haut niveau. Il y a actuellement un problème de logique. Soit on demande de hautes études dans une matière bien spécifique (qui n'est pas forcement celle du CAPES) mais sans justification de pédagogie, soit on demande une pseudo-preuve de pédagogie, mais sans justification de connaissance dans une quelconque matière. (Je dis pseudo-preuve, parce que être père ou mère de trois enfants n'a jamais été la preuve de compétences en pédagogie, surtout si ce sont des triplés de 6 mois.) Il y a donc deux conditions possibles d'inscriptions au concours qui sont toutes deux opposées. Et une troisième (sportif de haut niveau) que je n'arrive pas à justifier. Il faut à mon avis changer les conditions d'accès au concours de Professeurs des Écoles et au CAPES, de manière à les rendre plus proche des besoins du terrain, c'est à dire assez de connaissances et assez de pédagogie. La licence dans le domaine concerné + le bafa assureront que les candidats au CAPES et au concours de Professeurs des Écoles sont des personnes formées à la fois sur un sujet particulier et sur la façon de gérer des groupes d'enfants et d'ados. |
Contre-argumentaire | Le BAFA n'est absolument pas une preuve de capacité pédagogique. Etre animateur dans une colonie de vacances ne requiert absolument pas les même aptitudes qu'être professeur dans un collège ou lycée. De plus le BAFA est un diplôme payant. Bref, je suis d'accord avec l'idée qu'il faille demander un plus haut niveau en pédagogie pour le CAPES mais je ne suis pas sur que le BAFA soit la bonne solution. |
Références |
[1] http://www.education.gouv.fr/cid51268/conditions-inscription-concours-externe-capes.html [2] http://www.education.gouv.fr/cid50923/concours-externe-concours-externe-special.html |
Enseignement de l'informatique par l’école
N° | 2 |
Titre | Enseignement de l'informatique par l’école |
Proposé par | Relf, Farlistener |
Soutenu par | Relf, Farlistener, Amok , Dworkin , Numero6 , Jeey |
Date de rédaction | 12/03/2013 |
Texte de l'amendement | Transformer le brevet informatique et internet (B2i) [1], "attestation de compétences" validée au collège, au lycée et dans les CFA, par de véritables cours d'informatiques (Science du traitement rationnel, notamment par machines automatiques, de l'information considérée comme le support des connaissances humaines et des communications dans les domaines technique, économique et social), gérés et validées par des professionnels (intervenants externes dans un premier temps, professeurs certifiés ensuite).
Les 5 domaines du B2i doivent être conservés mais étoffés. Ils doivent faire l'objet de véritables cours, à mettre en place dans une emploi du temps classique. Suite aux cours d'informatiques, un élève doit connaitre les composantes classiques d'un ordinateurs (en particulier le matériel dans une unité centrale et les logiciels faisant fonctionner l'ordinateur) ainsi que les composantes classiques d'un réseau (encore une fois matériels et logiciels). En fin de lycée, un élève doit connaitre les points faibles possibles d'un ordinateur et d'un réseau, en tenant bien compte du plus grand facteur d'erreur : le facteur humain (alias l'utilisateur). Les cours d'informatiques doivent aussi initier les élèves à l'algorithmique, par exemple via Logo [2] ou des programmes équivalents. Ces cours devront être validées par des épreuves écrites et des épreuves manuelles adaptées aux connaissances et compétences à acquérir. |
Explications et argumentaire | Le B2i est basé sur 5 domaines :
Ces 5 domaines doivent être conservées mais nettement plus étoffés, en particulier sur 2 domaines : l'appropriation d'un environnement informatique de travail et la création et le traitement de données. La mise en place de tels cours au sein de l'EN implique la création d'un CAPES "informatique", à mettre en place. Un véritable enseignement en informatique est indispensable pour tous, voir les raisons exposées dans le billet traduit par Lunatictac [3] |
Contre-argumentaire | Bien que trouvant l'amendement vraiment utile, je me demande si le réseau doit tant que ça être mis en avant? |
Références |
[3] http://eduscol.education.fr/cid46073/b2i.html [4] https://fr.wikipedia.org/wiki/Logo_%28langage%29 [5] http://lunatopia.fr/blog/les-gamins-ne-savent-pas-utiliser-les-ordinateurs |
Droits référendaires
N° | 3 |
Titre | Droits référendaires |
Proposé par | HD♥3 (HomoData), provo |
Soutenu par | D'après les soutiens reçus sur Liquid Feedback, délégations comprises, par ordre alphabétique :
Drenskin, aloxe, Bigboy, broensted, Christophe, clemage, Cyprien "Kafim", GeekPapy, gripho, Japert, Jérôme Leignadier-Paradon, Jesse, Léguman, letailli, Logicos, mariemini, Mistral, Otourly, P.A, pepie34, provo, SophieAnonymiss, stephanie, Thierry, Tons_1, tulipius Tyir, Valentin Lorentz, YannDutch. |
Date de rédaction | 03/08/2013 |
Texte de l'amendement | Le Parti Pirate propose d’instituer en France un système de droits référendaires pour les citoyens, composé de trois types de référendum :
– les référendums obligatoires, toute modification de la constitution est obligatoirement soumise à référendum ; – les référendums facultatifs : si dans les 150 jours qui suivent l’adoption d’une loi par le Parlement, 1% des électeurs signent un texte, rédigé et déposé par un comité référendaire demandant un vote sur la loi, la loi est soumise à un référendum ; – les initiatives populaires : tout électeur ou comité d’initiative a le droit de proposer une modification de la législation ou de la Constitution (ou l’adjonction d’une nouvelle disposition). Il doit obtenir à cet effet la signature de 2 % des électeurs en l’espace de 18 mois. Si l’initiative aboutit le projet est soumis à référendum pour une ratification devant le peuple français. Afin de valider ces droits référendaires, il est créé une institution des droits référendaires responsable de l'organisation et de la mise en œuvre (préparation, établissement et publication du résultat final) des référendums. La Section procède à l'examen préalable des initiatives populaires, accompagne les comités d'initiatives et les comités référendaires, préside au dépôt des initiatives et des référendums et vérifie que ces initiatives ou référendums ont recueilli un nombre suffisant de signatures valables. |
Explications et argumentaire |
Les droits référendaires (ou populaires) sont une forme éminente de démocratie directe, et donnent corps à l’idée selon laquelle les citoyens sont les plus aptes à intervenir en acte et en parole dans les affaires publiques. Les procédures référendaires reposent sur la confiance dans la compétence démocratique des citoyens. Les référendums mettent en évidence comment les institutions et la pratique des droits populaires se nourrissent l’un l’autre, stimulent l’art politique des citoyens. Ils apparaissent comme autant d’ateliers pratiques de la démocratie et exemplifient la triple vertu délibérative, régulatrice et éducative de la participation citoyenne à la vie de la cité.
Les référendums alimentent les débats politiques approfondis sur tous les sujets qui importent dans les affaires de la cité. Si l’on partage l’idée d’Amartya Sen, selon lequel « la meilleure définition de la démocratie est celle de gouvernement par la discussion » (2009, p. 386), cette qualité délibérative des droits populaires est une vertu essentielle. Elle importe d’autant plus qu’elle ne se limite pas à mettre en scène une démocratie d’opinion, mais met en scène un véritable pouvoir délibératif qui se manifeste à travers la maîtrise de l’agenda politique, l’animation des débats politiques, et un réel pouvoir de décision. Les droits référendaires reconnaissent aux citoyens un pouvoir de décision important. Les référendums obligatoires et les initiatives populaires donnent aux citoyens le dernier mot en matière constitutionnelle, et le droit de voter des lois. La possibilité des référendums facultatifs ou abrogatoire sur toute loi votée oblige les élus à prêter une plus grande attention à l’opinion publique. Enfin, les processus référendaires déplacent les enjeux de la vie politique des questions de personnes aux questions politiques.
Outre le fait d’impliquer les citoyens dans le débat et la décision politique, les droits populaires ont un effet de régulation de la vie politique. Ils produisent une redistribution du pouvoir politique entre les professionnels et les citoyens, et contribuent à une autre conception du travail politique professionnel. Les référendums contribuent à empêcher la concentration du pouvoir politique. Outre l’effet en amont sur le mode de fonctionnement de la démocratie représentative, soumis aux référendums abrogatoires, la dynamique potentielle des référendums contraint le système politique à la transparence, à l’information, à l’écoute. Elle oblige à rendre compte des décisions comme des projets, à engager les consultations les plus larges en amont des décisions parlementaires. Tous ces mécanismes produisent une autre conception du politique, moins centrée sur le pouvoir et le savoir. Les référendums élèvent le statut des citoyens à celui d’acteurs politiques. La démocratie directe limite la professionnalisation et la personnalisation de la politique et contrarie la tendance à l’oligarchie et la fermeture sur soi du personnel politique. Loin de creuser la distance entre les professionnels de la politique et les citoyens, les droits référendaires rapprochent citoyens et politiciens et conduisent à un nouveau type de relations.
Dans « La démocratie des autres», Amartya Sen attribue trois avantages à la démocratie pour les citoyens (Sen, 2006, p. 70-71). – Premièrement, la participation politique et sociale représente une valeur intrinsèque pour la vie humaine et son bien-être. – Deuxièmement la démocratie a une valeur instrumentale dans l’amélioration de la réceptivité à l’expression et à la satisfaction des besoins politiques mais aussi économiques et sociaux des gens. – Troisièmement, la pratique de la démocratie donne l’opportunité aux gens d’apprendre les uns des autres, et aide la société à former ses valeurs et ses priorités. Plus on offre aux citoyens des opportunités de participer à la vie politique, mieux ils sont en effet informés. Les recherches indiquent une corrélation positive entre ces deux variables. Plus on a de possibilités de participer, mieux on est informés, toutes choses égales par ailleurs. L’effet lié à une plus grande possibilité de participation est comparable à l’effet éducation ou l’effet revenu.
Comme tout système démocratique, les droits populaires n’éliminent pas l’ambivalence de la démocratie et de la souveraineté populaire parce que cette ambivalence est pour ainsi dire l’essence même du pari démocratique. La démocratie directe ne repose pas sur l’illusion que les citoyens garantissent la « bonne décision », mais elle postule que les citoyens sont in fine plus aptes que les rois-philosophes, les avant-gardes ou les professionnels à décider des affaires de la cité. La démocratie n’est pas un sport de spectateurs, ni une affaire de professionnels, mais une activité citoyenne. |
Contre-argumentaire | |
Références | Débat sur le forum, Article |
Quinquennat pour tous les mandats électifs externes
Généralisation du quinquennat pour tous les mandats électifs (externes) au scrutin universel, direct et indirect.
N° | 4 |
Titre | Quinquennat pour tous les mandats électifs externes |
Proposé par | Numero6 |
Soutenu par | Jeey, Relf, Drenskin |
Date de rédaction | 06/09/2013 |
Texte de l'amendement | À insérer dans la rubrique "Transparence de la vie politique" :
Généralisation du quinquennat pour tous les mandats électifs au scrutin universel, direct et indirect. |
Explications et argumentaire | Actuellement, seul la magistrature suprême et les députes sont élus pour 5 ans mais pas les sénateurs ainsi que les élus locaux. Il me semble plus adapté que la durée soit la même pour tous car cela aura l'avantage d'avoir un échéancier régulier d'élections, facile à retenir et aussi pour éviter les rallonges de mandats (que nos élus se votent) quand plusieurs scrutins sont concomitants. Nous avons déjà les présidentielles et les législatives, les années (finissante en) 2 et 7, les européennes les années 4 et 9, les autres restent à déterminer... années [0,5] [1,6] [3,8] |
Contre-argumentaire | |
Références |
Titre
Ceci est la présentation de mon amendement.
N° | x |
Titre | Mon premier amendement |
Proposé par | Mon Pseudo |
Soutenu par | Mon Pseudo, son pseudo, ton pseudo |
Date de rédaction | 06/09/2013 |
Texte de l'amendement | On rajoute cette mesure: Ceci est l'amendement. |
Explications et argumentaire | Cet amendement va changer la vie du PP |
Contre-argumentaire | Le changement c'est pas pour maintenant |
Références |
Titre
Ceci est la présentation de mon amendement.
N° | x |
Titre | Mon premier amendement |
Proposé par | Mon Pseudo |
Soutenu par | Mon Pseudo, son pseudo, ton pseudo |
Date de rédaction | 06/09/2013 |
Texte de l'amendement | On rajoute cette mesure: Ceci est l'amendement. |
Explications et argumentaire | Cet amendement va changer la vie du PP |
Contre-argumentaire | Le changement c'est pas pour maintenant |
Références |